Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01
Détails
Ce premier volume contient les épisodes 1 à 4 de la série.
Caracteristiques
Blu-ray
- BD50G
- Zonage : Region-free
- Vidéo : 16/9, 1080i haute-définition, couleur
- Audio : Japonais PCM linéaire stéréo
- Sous-titres : Néant
- Durée : 92 minutes
DVD
- DVD9 (simple face, double-couche)
- Zonage : Région 2
- Vidéo : 16/9, NTSC, couleur
- Audio : Japonais Dolby Digital stéréo
- Sous-titres : Néant
- Durée : 92 minutes
Packaging
Qu'on parle du DVD ou du Blu-ray, le disque est logé dans un boîtier standard, accompagné d'une jaquette illustrée spécialement par Yoshihiko Umakoshi (à l'effigie de Kôga et Seiya), et d'un dépliant de 6 pages présentant croquis préparatoires, settings et interview de Hikaru Midorikawa, seiyû de Kôga dans la série.
Épisodes
Kōga, autrefois sauvé par Seiya, s'oppose au dieu Mars, de retour pour s'emparer de Saori.
Récit
Aux abords des 12 Maisons, dans un champ de fleurs.
Sous un ciel parsemé d'étoiles, Saori regarde Kōga, qui n'est encore qu'un bébé, tenter tant bien que mal d'exécuter quelques pas. Malgré une chute et quelques larmes, le nourrisson se remet très vite sur pieds et se dirige gaiement vers la déesse. Tout à coup, un Cosmos écrasant se fait ressentir et investit complètement les lieux. Saori, pressentant le danger, se précipite dès lors vers Kōga et le prend dans ses bras. Une première décharge vient ensuite percuter de plein fouet une falaise non loin de là. C'est alors qu'une voix retentit de cet amas d'énergie, déclarant avoir enfin retrouvé Athéna. Tandis que Kōga se met à pleurer de plus belle, un deuxième coup touche Saori de plein fouet et la projette au loin, lui laissant des marques ténébreuses à l'épaule. Elle se retrouve à la merci de son mystérieux opposant qui s'apprête à lui porter un coup fatal lorsque, soudain, un Gold Saint fait irruption et bloque l'attaque. Saori reconnaît aussitôt celui qui revêt désormais la Gold Cloth du Sagittaire. Et celui-ci n'est autre que Seiya !
L'ennemi ne tarde pas à prendre finalement forme et se révèle être le dieu Mars. Celui-ci a d'ailleurs reconnu Seiya comme étant le Saint de Pégase et lui annonce qu'il l'attendait. Le combat commence. Seiya s'élance vers Mars qui pare aisément chacun de ses coups et déclare qu'un tel Cosmos ne pourra jamais atteindre sa Galaxy. Le dieu passe ensuite à l'offensive en projetant une masse d'énergie de sa main. Seiya résiste malgré tout et va même jusqu'à bloquer l'attaque à mains nues. Cependant, le bras de la Gold Cloth du Sagittaire vole en éclats. Mais il en faut bien plus pour arrêter le Saint d'Athéna, prêt à tout pour mettre un terme à l'ambition de son ennemi. Il enchaîne les coups mais cela ne semble avoir aucun effet sur Mars qui le repousse un peu plus loin et l'encourage à enflammer davantage son Cosmos. Seiya résiste tant bien que mal face à l'énergie démesurée de son adversaire, tout cela sous les yeux ébahis du jeune Kōga. Le face-à-face prend une autre tournure lorsqu'ils se décident tous deux à utiliser leur arcane. Mars prépare le Rubellu Sidus Gungnir qui se matérialise sous la forme d'une lance. Seiya, lui, enflamme son Cosmos à son paroxysme et lance le Pegasus Ryūsei Ken. Les deux énergies se percutent de plein fouet. L'issue du combat devient plus qu'incertaine, chacun essayant à tour de rôle de prendre l'avantage sur l'autre. De son côté, Kōga ne peut détacher ses yeux de la silhouette de son sauveur...
13
ans
plus
tard...
Sur une île, à la nuit tombée.
Kōga a bien grandi. Il suit désormais l'entraînement de Shaina qui préfère tout d'abord lui enseigner le combat au corps à corps. Par cette belle nuit étoilée, le jeune garçon subit les assauts de son maître qui se montre implacable en la matière. Dans un premier temps, il se dégage de l'arbre qui vient de lui tomber dessus. Malheureusement pour lui, il n'a droit à aucun répit car Shaina se précipite vers lui. Kōga, essayant tant bien que mal d'éviter les coups qui lui sont portés, se plaint de devoir suivre un tel entraînement. Ce à quoi Shaina lui répond que c'est dans le but de devenir un Saint. Sur les nerfs, le jeune apprenti tente une offensive contre son maître. Mais celle-ci le prend à revers et lui assène un coup. Kōga, plié en deux, veut lui faire comprendre qu'il n'a aucune intention de devenir Saint. En guise de réponse, Shaina lui donne un puissant coup de pied qui le projette contre une falaise. Selon elle, le garçon ne fait que se rebeller. Fidèle à son nom, il retourne ses crocs contre tout le monde alors qu'un homme se doit d'endurer en silence. Kōga, quant à lui, affirme qu'un homme est un rebelle dans l'âme et qu'il créera lui-même son propre chemin. Ces paroles semblent de toute évidence amuser son maître puisqu'elle lui rétorque qu'il n'a même pas la force d'un Saint. D'une main, elle l'extirpe de la roche dans laquelle il était prisonnier. Et tout en lui demandant de prouver ses paroles par des actes, elle l'envoie tout en haut de la falaise où il atterrit avec fracas.
Pendant ce temps, dans une maison de plein-pied non loin de là. Saori attend paisiblement dans sa chambre, la brise nocturne lui caressant le visage. Elle porte désormais une étrange pierre en forme de losange autour du cou. Tatsumi, toujours à son service, vient lui apporter le dîner. Saori lui répond alors par un doux sourire.
De son côté, Kōga donne un coup dans la roche. Mais, comme prévu, pas la moindre fissure n'apparaît. La main endolorie, le jeune apprenti est persuadé qu'il n'y arrivera jamais. Shaina lui demande alors s'il a déjà ressenti le Cosmos. Pour Kōga, rien de tel n'existe. Mais son maître lui affirme qu'il lui serait aisé d'accomplir ce genre d'exercice, si seulement il pouvait le ressentir. Les pierres, le corps humain ainsi que tout ce qui existe dans l'univers sont composés d'atomes. Il y a 13,7 milliards d'années, l'univers est né lors du Big Bang. Ainsi le corps de Kōga serait de toute un évidence un des micro-univers qui en aurait résulté. La quintessence de la destruction passerait donc par la destruction des atomes. Et ceci en enflammant l'univers contenu dans son propre corps. Ou en d'autres termes, en faisant exploser son Cosmos. Ainsi, il serait alors possible de briser les atomes. Shaina le lui prouve en brûlant son propre Cosmos et en détruisant une pierre sans même la toucher.
Au
petit
matin,
l'entraînement
au
corps-à-corps
reprend
de
plus
belle.
Saori,
restée
à
l'écart,
observe
la
scène
accompagnée
de
Tatsumi,
sans
mot
dire.
Elle
effectue
désormais
tous
ses
déplacements
à
l'aide
d'une
canne
dont
le
pommeau
a
été
sculpté
à
l'effigie
de
Pégase.
Tandis
qu'elle
s'éloigne
discrètement,
Kōga
subit
une
nouvelle
déconvenue.
Après
s'être
relevé,
il
se
précipite
vers
Shaina
mais
celle-ci
l'évite
avec
une
grande
facilité,
l'empoigne
et
le
projette
au
sol.
La
Silver
Saint
d'Ophiucus
n'en
démord
pas :
elle
veut
à
tout
prix
que
Kōga
parvienne
enfin
à
enflammer
son
Cosmos.
Et
pour
se
faire,
il
doit
se
débarrasser
de
tout
sentiments
superflus
tels
que
l'hésitation,
la
colère
ou
la
haine
et
focaliser
son
esprit.
Car,
à
ce
rythme-là,
il
ne
sera
jamais
en
mesure
d'utiliser
des
pouvoirs
de
Saint
ni
de
pouvoir
protéger
qui
que
ce
soit,
qu'il
s'agisse
de
lui-même
ou
bien
encore
d'Athéna.
Selon
le
jeune
apprenti,
Athéna
ne
serait
qu'un
personnage
fictif
issu
de
la
mythologie
grecque
et
réfute
par
là-même
son
existence.
Shaina
lui
fait
comprendre
qu'il
a
tort
et
lui
rappelle
qu'il
est
celui
que
Seiya
a
sauvé
jadis.
Kōga
lui
demande
où
peut
bien
se
trouver
Seiya.
Shaina
reste
muette
à
l'évocation
du
Saint.
Kōga
se
plaint
ensuite
qu'on
ne
lui
ait
rien
expliqué,
mis
à
part
le
fait
qu'il
devait
devenir
un
Saint.
Se
relevant,
il
ajoute
qu'il
aurait
été
préférable
pour
lui
de
mourir
quand
il
n'était
encore
qu'un
bébé
car
ainsi,
il
n'aurait
pas
à
subir
tout
ça.
Et
que
Seiya
devait
être
un
bel
imbécile
d'avoir
donné
sa
vie
pour
le
sauver,
lui.
Cette
fois-ci,
c'en
est
trop
pour
Shaina
qui
ne
supporte
pas
les
paroles
désobligeantes
de
son
élève
envers
Seiya.
Elle
se
jette
sur
lui,
toutes
griffes
dehors,
et
l'érafle
à
la
joue.
Kōga
réplique
et
contre
toute
attente
parvient
à
lancer
une
attaque
qui
pulvérise
un
bout
du
terrain !
Shaina
a
à
peine
eu
le
temps
de
s'écarter
mais
quelques
fissures
sont
apparues
sur
son
masque.
Comprenant
soudainement
ce
qu'il
vient
d'accomplir,
le
jeune
homme
s'excuse
auprès
de
son
maître
et
juge
préférable
de
prendre
la
fuite.
Restée
seule,
Shaina
comprend
qu'il
possède
un
Cosmos
incroyable.
A bout de souffle, Kōga s'arrête au pied d'une falaise et contemple le paysage d'un air mélancolique. Il arrive encore à peine à réaliser ce qui vient de se passer. Tournant la tête, il aperçoit alors une fleur à côté de lui. Il s'empresse de la ramener à Saori après s'être changé. Seulement, il ne la trouve pas dans sa chambre. Tatsumi arrive derrière lui par surprise, armé de son bâton de bambou, et lui demande ce qu'il fait ici, puisqu'après tout personne ne lui a donné la permission d'entrer. Saori fait alors son apparition et leur adresse un sourire à tous les deux. Elle remarque ensuite la fleur que Kōga a dans sa main. Gêné, ce dernier lui avoue qu'il l'a cueillie pour elle. Ceci fait, il s'empresse de sortir de la maison en saluant Saori au passage. Tatsumi ne peut s'empêcher de railler le jeune homme sur son attitude effrontée. Shaina, qui vient d'arriver près de la maison, voit Kōga en ressortir et se diriger tout guilleret vers la plage qui jouxte la propriété. Quant à Saori, elle vient s'installer dans le salon. Les ténèbres qui l'avaient frappé à l'épaule treize années auparavant se sont désormais étendues à tout son bras. Elle sursaute au bruit de pas près d'elle avant de réaliser qu'il ne s'agit que de Shaina, venue prendre de ses nouvelles. Saori lui assure qu'elle va bien. Néanmoins, il ne reste guère de temps. Ses pouvoirs s'amenuisent de plus en plus. Shaina se sent impuissante quant au fait que Kōga ne soit pas encore devenu Saint. Mais Saori lui dit d'avoir foi en lui. Elle ajoute toutefois qu'elle aurait préféré lui offrir une jeunesse un peu plus joyeuse. Alors qu'elle prononce ces paroles, Kōga profite d'un moment de répit et se repose sur la plage. Saori, le regard fixé sur son étrange pendentif, songe alors aux futurs combats et au destin qui attendent le jeune homme lorsque, tout à coup, elle ressent une douleur lancinante se distiller le long de son bras meurtri. Elle n'en comprend que trop bien la sinistre signification.
Sur ce qui semble être la planète Mars.
En plein milieu d'un océan de lave flotte à sa surface un masque qui ne nous est pas inconnu. Quelque chose, ou plutôt quelqu'un semble s'éveiller de cette prison de feu. Et c'est ainsi que le dieu Mars s'élève de nouveau !
Île.
La silhouette d'un Gold Saint drapée dans la lumière, celle de Seiya revêtu de la Cloth du Sagittaire. C'est cette image qui reste ancrée dans la mémoire de Kōga, juste après qu'il se soit réveillé en sursaut. Il se relève et découvre alors Saori, sa canne à la main, qui l'observait non loin de là. Celle-ci lui adresse une nouvelle fois un sourire radieux. On sent dès lors tout le profond respect que le jeune homme a pour elle.
Tandis que le soleil commence à décliner, Saori demande comment se passe l'entraînement et l'apprenti de Shaina lui répond qu'il fait de son mieux, du moins à sa manière. Elle s'excuse toutefois car il est le seul qui ne soit au courant de rien. Mais cela ne semble pas affecter Kōga qui assure aller pour le mieux et que cela ne le dérange pas. Il ajoute qu'il trouve Shaina terrifiante, cependant elle lui apprend de nombreuses choses. Et “papy” Tatsumi, comme il aime l'appeler, est plutôt amusant selon lui. D'un air gêné, il confie à mi-voix à Saori qu'il souhaite rester toujours ainsi auprès d'elle. Pour autant, il ne peut s'empêcher par la suite de se plaindre du fait qu'on ne lui ait rien dit à propos des Saints. Saori lui explique que s'il n'en devient pas un, il ne sera pas en mesure de protéger quoi ou qui que ce soit. Kōga pense aussitôt à la déesse Athéna dont tout Saint doit assurer la protection et exige donc de la rencontrer. Saori lui promet qu'un jour il le pourra. Cela irrite encore davantage Kōga. Pour lui, la jeune femme remet encore ce sujet épineux à plus tard et se lamente de plus belle. On le laisse toujours dans l'ignorance, qu'il s'agisse d'Athéna, ou bien encore de Seiya. C'est à ce moment-là qu'il avoue avoir fait le rêve d'un homme imprégné d'une lueur dorée et demande s'il est probable qu'il puisse s'agir de Seiya. Ce à quoi Saori lui assure qu'il comprendra tout une fois devenu Saint. Cette fois-ci, c'en est trop pour l'apprenti : jamais il ne deviendra un Saint, personne n'a à décider de sa vie. Il regrette aussitôt d'avoir prononcé ces paroles et, réalisant qu'il a été trop loin, ne dit plus mot. Brisant le silence qui s'est installé, Saori lui tend alors son pendentif, quelque chose de très précieux pour elle. Elle souhaite que Kōga le garde avec lui. D'abord hésitant, le jeune garçon finit par accepter le présent qui lui est fait... Quand tout à coup, les ténèbres imprègnent les lieux.
Quelqu'un fait une entrée fracassante : Mars en personne ! Le dieu savoure l'instant qu'il a longtemps attendu, surtout qu'il ne reste plus aucun Gold Saint pour protéger Saori. Saori qu'il appelle par ailleurs “Athéna”. Kōga réalise alors, stupéfait, que la jeune femme n'est autre que la déesse dont il est censé assurer la protection en tant que futur Saint. Devant un Kōga abasourdi, Saori se tient face à Mars. Ce dernier clame haut et fort son intention de l'amener avec lui, les pouvoirs d'Athéna étant nécessaire à sa conquête du monde. Mais la déesse ne l'entend pas de cette manière. La Terre appartient aux hommes et quoiqu'il puisse lui arriver, elle ne le laissera pas réaliser ses sombres desseins. Une incroyable lueur irradie soudain son corps. Devant une telle puissance, Kōga en reste interdit. De son côté, Mars semble satisfait de voir de ses propres yeux le Cosmos de Lumière d'Athéna qu'il désirait tant. Il fait dès lors en sorte que les ténèbres qui avaient marqué le bras de la déesse s'étendent à toute sa personne. Saori ne peut lutter et s'en retrouve bien affaiblie. Malgré tout, elle fait signe à Kōga de ne pas s'inquiéter pour elle. Mars s'esclaffe de voir son ennemie en piteux état et lui révèle que si elle enflamme trop son Cosmos, le mélange de lumière et de ténèbres provoquera une violente explosion. Athéna n'est donc plus en mesure de s'opposer à lui. Kōga s'interpose alors et interdit formellement à Mars de s'en prendre à celle qu'il vénère par-dessus tout. Saori lui demande pourtant de ne pas s'en mêler mais il ne l'entend pas de cette oreille. Il donne un premier coup à Mars qui continue d'approcher, mais en vain. Le dieu l'attrape et le soulève de terre avec une aisance déconcertante. Il reconnaît le bébé qui était autrefois auprès d'Athéna au Sanctuaire et le projette contre un rocher. C'est alors que Tatsumi, en tenue de kendō et armé de son fameux bâton de bambou, se précipite vers l'ennemi. Shaina le devance toutefois. Et tandis que Mars s'apprête à passer à l'offensive, la Saint d'Ophiucus repousse le vieillard, évitant l'attaque de peu, et l'assomme d'un coup net et précis pour se jeter l'esprit tranquille dans la bataille. Ne perdant pas de temps, elle exécute le Thunder Claw contre Mars. Mais il ne vacille même pas. Celui-ci reconnaît vraisemblablement la Silver Saint qui lui porte de puissants coups, néanmoins sans effets. D'une seule main, il l'attaque sauvagement, allant même jusqu'à ébrécher sa Cloth. Du sang se met à perler le long de son cou, signe qu'elle a été sévèrement touchée. Malgré cela, Shaina tente le tout pour le tout et envoie une puissante attaque pour le retenir suffisamment longtemps.
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- Le cours dispensé par Shaina sur le Cosmos fait écho à celui de Marin dans le 1er épisode de l'anime de 1986 (et donc accessoirement le 1er chapitre du manga).
- La maison de plain-pied de Saori n'est pas sans évoquer celle du film du Tenkai. Toutes deux ont en effet un design très similaire.
- La tenue de kendō de Tatsumi est celle qu'il portait déjà lors de la bataille des 12 Maisons, lorsqu'il veillait Saori aux portes de la mort, ou encore lorsqu'il s'était interposé lors du départ de Shun (scène bonus du 3e épisode de l'OAV Hadès-Sanctuaire). Il est d'ailleurs toujours en possession de son fameux bâton de bambou.
- Lors de l'entraînement de Kōga, Shaina fait remarquer qu'"il dresse ses crocs vers les gens qui lui sont proches, comme l'indique son nom". "Kōga" signifie en effet "crocs de lumière".
- Cet épisode a été diffusé lors d'une avant-première mondiale simultanée le 30 mars 2012, 2 jours avant la diffusion à la télévision.
- Les ailes de la Cloth du Sagittaire disparaissent sur un plan puis réapparaissent sur le plan suivant. Cependant cette erreur a été rectifiée dans la version DVD.
Comparaison TV - vidéo
Pour son édition vidéo, l'épisode a subi quelques modifications, principalement au niveau effets de lumière. Voici les plus notables :
(en haut la version TV, en bas la version vidéo)
Les 2 principales boulettes ont donc été corrigées, à savoir les ailes du Sagittaire disparaissant grossièrement sur un long plan fixe, et l'erreur de coloration du bras gauche de Seiya lors de l'invocation du Pegasus Ryūsei Ken (même si celle-ci avait déjà été corrigée dans l'épisode 10). Les quelques autres finitions apportées embellissent certes l'ensemble (le Seiya vu de dos par Kōga, à la Cloth plus détaillée), mais s'avaient rien de vraiment indispensables compte-tenu de la très bonne qualité technique de l'épisode. On appréciera malgré tout l'effet lumineux progressif du Pegasus Ryūsei Ken sur le Murus Ignis, là où à la TV les météores semblaient inefficaces jusqu'à la dispersion des flammes.
Personnages présents |
Attaques utilisées |
---|---|
|
Combats débutant dans ce chapitre / épisode
Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01 | ||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | Début | Fin | Issue | |||||||
001 | Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01 | StS Omega - Episode 01 | Défaite de Seiya, absorbé par les Ténèbres de Mars. | Seiya (Omega) | Mars | |||||
002 | Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01 | StS Omega - Episode 02 | Victoire de Mars | Shaina (Omega), Kōga | Mars |
Production
Réalisation, scénario, chara design
Réalisateur(s) | : | Morio Hatano |
Directeur(s) de l'animation | : | Yoshihiko Umakoshi |
Scénario | : | Reiko Yoshida |
Directeur(s) artistique | : | Akiyama Kentarō |
Réalisation, scénario, chara design
-
Plans
clé
- Yoshihiko Umakoshi
- Yumi Kobayashi
- Mitsuko Baba
- Kozue Komatsu
- Akira Takahashi
- Yūki Hayashi
- Terumi Nishii
- Hiroya Iijima
- Takeshi Morita
- Yasuko Fukumoto
- Marie Ino
- Keiichi Ichikawa
- Ken Ootsuka
- Aiko Sonobe
- Naotoshi Shida
- Akira Kano
- Yūichi Hamano
- Hiroki Morimune
- Kōdai Watanabe
- Katsunori Enomoto
- Hiroyuki Okuno
- Yūta Kiso
- Natsuko Suzuki
- Shigeru Satō
- Takashi Kojima
- Akira Hamaguchi
- Shingo Araki
- Michi Himeno
- Kozue Hiruma
- Takayuki Manaka
- Masaya Ichikawa
- Koa
- Acca effe
- Triple A
- drop
-
Intervalliste(s)
- Toei Phils.
- Kagura
- A-Line
-
Décors
- Studio PABLO
- Akio Shimada
- Osamu Imai
- Yuka Kawai
- Akiyama Kentarō
- Magic House
- Tomoko Yoshida
- Makoto Suwada
-
Couleurs
digitales
- Toei Phils.
- Kagura
- A-Line
-
Coordination
couleurs
- Tomoko Kohioki
-
Effets
spéciaux
digitaux
- Toshio Katsuoka
-
Prise
d'image
digitale
- Keisuke Hikosaka
- Masatoshi Hamasaki
- Kenji Kobayashi
- Jun Takeda
- Yoshihito Kuwa
- Ayumi Itakuwa
-
Édition
- Kenta Katase
-
Enregistrement
audio
- Yasuo Tachibana
-
Assistant
à
l'enregistrement
audio
- Satoru Matsuda
-
Sélection
musicale
- Makiko Kayahara
-
Studio
d'enregistrement
- Tavac
-
Effets
sonores
- Yūji Furuya (Swara Pro)
-
Assistant
du
réalisateur
- Ryōta Nakamura
-
Assistant
de
production
- Naoto Sakai
-
Assistant
finitions
- Takahiro Kawamoto
-
Assistant
artistique
- Akihiko Yamaguchi
-
Enregistrement
- Minori Kajimoto
Seiyuu / Comédiens de doublages
- Kōga :Hikaru Midorikawa
- Shaina :Mami Koyama
- Tatsumi :Yukitoshi Hori
- Kōga (enfant) :Satsuki Yukino
- Mars :Hidekatsu Shibata
- Saori Kido :Shōko Nakagawa
- Seiya :Tōru Furuya
International
France
Casting
- Kōga : Maxime Baudoin
- Shaina : Victoria Grosbois
- Tatsumi : Marc Bretonnière
- Kōga (enfant) : Coralie Coscas
- Mars : Antoine Nouel
- Saori Kido : Virginie Ledieu
- Seiya : Éric Legrand
Version
française
produite
par :
Toei
Animation
Co,.
Ltd.
- Supervision artistique : Toei Animation Europe S.A.S.
- Direction de production : Pierre Belletante
- Chargée de production : Céline Lallement
- Chargé éditorial et littéraire : Charles Lamoureux
Studio : Lylo Post Production (système Play'R)
- Chargées de production : Haydee Parcollet et Lucie Nicod
- Adaptation : Emmanuel Pettini
- Direction Artistique : Antoine Nouel
- Prise de son et mixage : Françoise Trouy, Melissa Petitjean, Ivan Gariel, Damien Chalumeau, Rémi Durel
Notes
- Le titre utilisé est : "Sauvé par Seiya. La Légende des Chevaliers du Zodiaque renaît !". Les titres français de cette série sont remarquablement fidèles aux japonais (reprenant même la construction en deux phrases, chose assez rare en France). Ils sont par ailleurs écrits tout en majuscules et sans accent (ce qui est incorrect sur le plan grammatical).
- Doublée alors que sa première saison n'était même pas achevée au Japon, la VF de la série Omega a été supervisée directement par la Toei et on retrouve donc une équipe technique quelque peu similaire à celle ayant oeuvrée sur les derniers épisodes du chapitre Hadès du Saint Seiya d'origine, malgré le changement du studio de doublage notamment.
- Les personnages de Seiya et de Saori retrouvent tout deux leur interprète phare, ce n'est pas le cas de Shaina qui n'a curieusement pas retrouvée Laurence Crouzet. En ce qui concerne Tatsumi, son comédien le plus fréquent, Henry Djanik, est décédé en 2008.
- Les cris de Kōga bébé sont majoritairement repris de la VO.
- L'adaptation, quoi que globalement de bonne qualité, surprend sur plusieurs points, notamment pour la conservation en latin des attaques de Mars, alors que les noms des techniques de combat étaient toujours francisées jusque là. Aussi, on pourra s'étonner du retour de l'expression "Chevaliers du Zodiaque" qui avait fini par être abandonnée, sa réutilisation est sans doute d'ordre mercantile. Enfin, la Toei semble avoir mis de l'eau dans son vin concernant la francisation du terme "Cosmo", qu'elle n'avait pas permise dans les OAVs d'Hadès, et qui fait son retour ici, les personnages parlant à nouveau de "Cosmos".
- Emmanuel Pettini était chargé éditorial et littéraire sur le doublage des 18 derniers épisodes d'Hadès. Sur cette série, il ne signera qu'une poignée d'épisodes, la majorité étant adapté par Didier Duclos.
- On peut saluer l'effort fourni pour offrir des cartons de doublage quasi-complets (les voix jugées trop secondaires ne sont pas indiquées) propres à chaque épisode, même si, ainsi placés tout le long du générique de début, cela se fait au dépend d'autres informations techniques présentes sur la version japonaise. On note aussi que sur cet épisode, Benoît Du Pac est crédité par erreur pour le personnage de Sōma.
Références
Mars est parvenu à enlever Saori. Kōga entreprend alors de la retrouver et fait la rencontre de Sōma, le Bronze Saint du Petit Lion. Tous deux se retrouveront confrontés sur leur route au Martien Ordychia de la Mante.
Récit
Kōga était sur le point de porter une attaque. Cependant, Mars était parvenu à l'arrêter d'un seul doigt, estimant que la précédente offensive du nouveau Saint de Pégase n'était en fait qu'un coup de chance. Il était de plus inconcevable qu'il puisse s'opposer à lui avec un Cosmos aussi faible. Une nouvelle salve du Murus Ignis avait alors envoyé Kōga à terre. Saori, hors d'elle, allait se rebeller contre leur assaillant mais celui-ci le lui avait déconseillé, ajoutant que la lumière ne saillait pas à son Cosmos et qu'il valait mieux pour elle se laisser happer par les ténèbres sans discuter. Grâce à son pouvoir, il avait alors fait en sorte que les ténèbres s'étendent cette fois-ci à tout le corps d'Athéna. C'est ainsi que, devant les regards impuissants de Kōga et de Shaina, Saori avait disparu sans laisser la moindre trace. En larmes, le Saint d'Athéna avait été incapable de se mouvoir, comme pétrifié. Mars, lui, savourait déjà sa victoire. Il avait ensuite créé une flamme de la paume de sa main. Shaina s'était aussitôt précipitée dans un dernier élan pour protéger son disciple tandis qu'une violente explosion avait eu lieu, envahissant toute l'île.
Les ravages laissés par l'attaque de Mars sont encore visibles aux alentours. Réalisant son impuissance, Kōga se lamente de n'avoir rien pu faire. Mais selon Shaina, ce n'est pas de sa faute. Après avoir prononcé ces mots, elle s'écroule soudainement sur son disciple. Sur le dos de la femme Saint, la marque ténébreuse de Mars a imprégné sa blessure. Affolé, Kōga craint le pire et tente de la faire revenir à elle, en vain.
Un peu plus tard, alors qu'une pluie fine tombe sur l'île, Shaina a été transportée chez Saori et mise sous respirateur. Tandis que Tatsumi veille sur elle, Kōga, lui, reste à l'écart avant de retourner vers la plage, complètement hors de lui. Il trébuche et s'effondre face contre terre. Ses larmes viennent se mêler à la pluie qui se déverse lentement. Il concentre ensuite toute sa frustration et sa rage dans son poing et donne de puissants coups dans le sable, créant ainsi un profond cratère, avant de s'arrêter et de sangloter de plus belle.
Quelques jours plus tard, un soleil radieux darde ses rayons sur la propriété. À l'intérieur, Kōga, toutes ses affaires personnelles consistant en un unique sac de voyage, vient de confier à son maître son intention de partir. En effet, il est certain que Saori est toujours vivante. Shaina lui dit que le pendentif confié par Athéna, la “Clostone”, le guidera sur son chemin. Ayant été choisi par la Cloth de Pégase, celle de Seiya, le jeune homme doit lui faire la promesse de ne pas revenir avant d'avoir atteint son objectif. Kōga le lui jure et lui assure qu'il vaincra Mars et reviendra en compagnie de Saori. Shaina semble réconfortée.
Et c'est ainsi que le grand départ est arrivé. Dans un hors-bord conduit par Tatsumi, Kōga jette un dernier regard vers l'île sur laquelle il a passé toute son enfance, laissant Shaina, un peu anxieuse, derrière lui. Arrivé sur la terre ferme, il dit à Tatsumi qu'il compte sur lui. Ce à quoi le majordome de Saori rétorque qu'il n'a nul besoin de l'entendre le lui dire. Et son bâton à la main, il enjoint le jeune garçon à se dépêcher de partir, au lieu de rester planter là. Kōga, le sourire aux lèvres, lui dit au revoir, tourne les talons puis s'en va. Tatsumi, qu'on sent en réalité très attaché à lui, le regarde s'éloigner.
Peu après, Kōga arrive devant une plaine et s'arrête un instant. Il se demande bien par où commencer. C'est alors qu'un autre garçon arrive sur les lieux à une vitesse vertigineuse. Celui-ci reconnaît le pendentif que Kōga a en main comme étant une Clostone et en conclut donc qu'il doit être un Saint, tout comme lui. Il souhaite y jeter un oeil mais Kōga, d'abord méfiant, veut savoir à qui il a affaire...avant de réaliser que le mystérieux jeune homme s'est déjà emparé du pendentif. Il se jette sur lui pour récupérer son bien. Cela semble beaucoup amuser le nouveau venu qui l'invite à récupérer la Clostone s'il s'en croit capable. Kōga perd très vite patience et porte un coup que le garçon évite de peu. Celui-ci, le sourire narquois, révèle à l'apprenti de Shaina que les véritables Saints n'ont pas le droit de se battre entre eux pour des motifs personnels. Posant son sac de voyage, il ajoute qu'ils vont pourtant se passer des formalités et invite Kōga à l'attaquer. Irrité par l'attitude du mystérieux garçon, ce dernier jette son propre sac et se précipite sur lui. Malheureusement, son opposant se déplace d'à peine quelques centimètres et il est bien incapable de le toucher. Le nouveau venu se moque alors de lui et va même jusqu'à dire que Kōga n'est pas un Saint, seulement un enfant entré en possession d'une Cloth. À ces mots déplaisants, Kōga passe de plus belle à l'offensive mais en vain puisque son adversaire évite tous les coups aisément. Pour lui il est un Saint d'Athéna, de Saori. Il met plus de puissance dans le dernier coup, allant jusqu'à érafler la joue du jeune homme qui change soudain d'attitude. Touché dans sa fierté, il attaque Kōga de son poing d'où jaillissent désormais des flammes. Celui-ci s'effondre alors, inconscient. Son opposant, réalisant qu'il a été trop loin, tente de le réveiller, sans se rendre compte que, non loin de là, quelqu'un a espionné toute la scène...
A la nuit tombée, Kōga se réveille enfin à la lumière d'un feu de camp, son sac de voyage sous la tête en guise d'oreiller, et réalise que le garçon est resté là auprès de lui. Il découvre également que le pendentif a été placé autour de son cou. Le mystérieux jeune homme s'excuse pour s'être emporté un peu plus tôt et tient à s'assurer que Kōga n'est pas blessé. Il ajoute qu'il va préparer du café, attrape un morceau de bois qui trainait à ses pieds et, du bout du doigt, y met le feu. Abasourdi, Kōga pense à un tour de magie. Son nouveau compagnon n'en revient pas que quelqu'un qui se dise Saint ignore de quoi il s'agit et lui demande s'il s'est vraiment entraîné. La mine boudeuse, Kōga lui répond par l'affirmative en murmurant “plus ou moins”. Le jeune homme se propose alors de lui expliquer. Le Cosmos est une chose. Mais ce qu'il faut savoir, c'est qu'il possède des attributs élémentaires : le Feu, le Vent, la Foudre, la Terre, l'Eau, les Ténèbres et enfin la Lumière. Chaque Saint a l'un de ces 7 éléments en lui. Enthousiasmé, Kōga cherche à savoir s'il serait capable, à l'instar de son nouvel ami, de créer des flammes. Mais ce dernier lui révèle qu'on ne choisit pas soi-même son élément. Kōga tient alors à découvrir la marche à suivre. D'abord réticent, le garçon finit par céder. Tout d'abord, il convient d'étendre sa conscience à chaque parcelle de son propre corps. Ainsi, une fois que les sens sont suffisamment aiguisés au point de ressentir chaque cellule de son corps, il est impératif de focaliser cette conscience en un seul point et de tout faire exploser d'un coup. Joignant le geste à la parole, il parvient ainsi à produire de nouvelles flammes devant un Kōga enthousiasmé. Puis il se présente finalement comme étant Sōma du Petit Lion. Kōga, après avoir accepté une tasse de café, se présente à son tour. Toutefois, lorsque Sōma s'interroge sur sa constellation protectrice, il marque un temps d'hésitation avant de répondre “Pégase”. Sōma, débordant d'excitation à la seule évocation de ce nom, pense que Kōga doit forcément avoir un lien avec Seiya, le Saint légendaire. Bien qu'il ne l'ait jamais rencontré personnellement, n'importe quel Saint le connaît au moins de nom. Néanmoins, il serait apparemment porté disparu. Kōga n'en savait rien puisque lui-même pensait que Seiya était mort. Avalant une gorgée de café, il la recrache aussitôt, trouvant la boisson trop amère à son goût. Pendant ce temps, à quelques mètres de là, le mystérieux espion, à la solde de Mars, continue son office...
Après avoir levé le camp, les deux amis sont sur le point de reprendre la route. Kōga se pose des questions sur les raisons qui ont poussé Sōma à venir ici. Ce dernier est en réalité en mission pour la “Palestre”. Sautant du coq à l'âne, Sōma interroge son compagnon sur ce qui s'est passé dans les environs. Il a en effet été rapporté qu'une immense explosion de Cosmos s'était produite voilà quelques jours. Kōga reste interdit avant d'avouer la disparition d'Athéna. Sōma n'en croit évidemment pas un mot. Bien qu'il se doute que Kōga ne soit pas un menteur, il affirme savoir où se trouve la déesse. Kōga ne cache pas sa surprise. Il attrape Sōma par le col et exige de savoir où. Le Saint du Petit Lion accepte de le lui dire, à condition qu'il se calme. Kōga s'exécute, comprenant qu'il a été trop loin. Sōma va donc tout lui révéler...
Le lendemain, sous un soleil de plomb, on retrouve Kōga menant une barque avec Sōma à son bord. Agitant nerveusement les rames, il ne comprend pas pourquoi il en est réduit à faire cela. Sōma, ses notes en main, lui dit que s'il tient à savoir où est Athéna, alors il doit arrêter de se plaindre. Le nouveau Saint de Pégase craint de tomber nez à nez avec Tatsumi, surtout qu'il vient à peine de quitter l'île. Il réalise alors que leur barque passe au niveau de la propriété de Saori et se cache aussitôt, tout en continuant de ramer. Le majordome, lui, est tranquillement assis devant le perron de la demeure et semble avoir remarqué quelque chose.
Un peu plus tard, Sōma rejoint Kōga dans leur embarcation. L'enquête est terminée selon lui. Il invite donc Kōga à repartir avec lui en direction de la Palestre, surtout qu'ils devraient mieux y comprendre ce qui est arrivé à Athéna. Le Saint de Pégase exige des explications. Après tout, Sōma lui avait bien confirmé savoir où se trouvait Athéna. Le sourire crispé, son ami lui conseille de ne pas faire attention aux détails. La Palestre est un établissement fondé par Athéna elle-même. Il y aura donc bien au moins une personne qui en saura plus. Malgré la désagréable sensation d'avoir été utilisé, Kōga accepte tout de même de le suivre là-bas. Sōma le prévient que la Palestre est assez éloignée du lieu où ils sont actuellement. Peu importe pour Kōga, il fera tout pour rejoindre Athéna, quitte à aller jusqu'au bout du monde. Sōma lui explique ensuite ce qu'est la Palestre : une école où l'on apprend les bases pour être un Saint.
Après avoir beaucoup voyagé, les deux compères finissent par se poser au beau milieu d'une forêt à la nuit tombée, autour d'un feu de camp. Sōma dit qu'il s'entraîne en bonne et due forme depuis son admission à la Palestre. Gêné, Kōga lui avoue ne pas s'être entraîné très sérieusement de son côté. Sōma ne trouve pas ça étonnant, surtout si on l'y a forcé. Le jeune disciple de Shaina cherche par la suite à savoir pourquoi son compagnon a voulu devenir Saint. À cette question, le visage de Sōma, d'ordinaire si jovial, s'assombrit. Soudain, le feu s'éteint brusquement. Sōma est sur ses gardes. La voix du mystérieux espion retentit alors. Celui-ci ironise sur le fait qu'on ne le remarque que maintenant, étant donné qu'il les a constamment surveillés depuis un bon moment déjà. Sōma lui ordonne de sortir de sa cachette. L'inconnu s'exécute et ajoute que, bien que les deux Saints aient du tempérament, ils n'ont pas la force qui va de pair. Sōma reconnaît aussitôt l' “armure” qu'il porte. Des horreurs du passé lui reviennent en mémoire : lui, enfant, des larmes plein les yeux; un homme à terre et une mystérieuse femme portant le même type de protection ainsi qu'un masque, du sang s'écoulant de ses griffes acérées. Fou de rage, il pense que le nouveau venu est un allié de cette femme. Mais l'homme qui lui fait face se présente comme étant au service de Mars. Il fait parti de l'unité de reconnaissance des Martiens : Ordychia de la Mante ! Selon lui, il est inutile que son maître se rabaisse à venir s'occuper d'eux en personne et prend plaisir à l'idée de les torturer à petit feu. Sōma réagit à cette provocation en appelant sa Cloth à lui. Le bracelet à son poignet, sa Clostone, se met à scintiller. La constellation flamboyante du Petit Lion apparaît alors et Sōma revêt ainsi la Bronze Cloth. Il se précipite sans plus tarder sur son ennemi. Mais le Martien évite le coup et touche violemment le Saint avant de le propulser au loin. Kōga a à peine le temps de réagir qu'il est assaillit à son tour. Ordychia le frappe et l'envoie face contre terre. Pour pimenter le combat, il enjoint les deux amis à l'affronter ensemble. Sōma interdit pourtant formellement à Kōga d'intervenir et éloigne sa proie à l'aide de ses flammes. Mais le jeune garçon ne l'entend pas de cette oreille. Si cet homme est au service de Mars, il est donc son ennemi à lui aussi. Kōga revêt la Cloth de Pégase et va se jeter dans la bataille...avant de se rendre compte qu'il a énormément de mal à se mouvoir. Pour Sōma, qui tente maintenant de toucher son ennemi de ses poings, Kōga a du mal à enflammer son Cosmos et ferait mieux de rester à l'écart. Mais le Saint de Pégase n'est pas de cet avis. Ordychia lui envoie alors une salve d'attaques ténébreuses. Kōga, touché de plein fouet, se retrouve projeté contre un arbre. La Mante exulte de joie et concentre son pouvoir en une attaque plus imposante. Mais à son grand étonnement, Sōma s'est interposé et a bloqué le coup, non sans mal. Ordychia ricane de plus belle, leur amitié va causer leur perte commune. Mais Sōma a encore de l'énergie à revendre et repasse à l'offensive à l'aide de ses flammes. Le Martien les évite aisément, tout en reconnaissant néanmoins au Petit Lion qu'il a la combativité d'un adulte. Il va donc lui aussi se battre sérieusement. Les bras levés, il invoque le Dark Mist : un brouillard dense surgit ainsi, enveloppant Ordychia et le paysage aux alentours. Les deux Bronze Saints se retrouvent pris au piège. La voix du Martien se fait pourtant clairement entendre. Il a bien l'intention de s'amuser avec Sōma grâce aux ténèbres, jusqu'à ce qu'il en meure. Le Saint est alors assailli de toutes parts par une pluie de coups invisibles. Il tente une offensive, en vain. La Mante affirme être intouchable, aidé par les ténèbres environnantes. Sōma comprend qu'il s'agit de l'élément d'Ordychia de la Mante. Il ne lui reste donc plus qu'à faire disparaître le brouillard grâce à ses flammes. Les mains jointes, il forme une attaque de feu...qui s'évapore aussitôt. Toutes ses autres tentatives demeurent infructueuses. Il pense ne pas être concentré et subit une nouvelle salve de coups sans pouvoir réagir. Ordychia lui demande où a bien pu passer sa combativité. Cette fois-ci c'en est trop pour Kōga, il ne veut plus être un simple spectateur impuissant, comme lors de l'enlèvement de Saori. L'élément des Ténèbres du Martien lui rappelle que lui aussi possède un attribut élémentaire et tente le tout pour le tout. Les conseils de Sōma en tête, il se concentre jusqu'à ce qu'une lueur émane de son corps, le Cosmos. La lumière se fait de plus en plus intense et dissipe totalement le Dark Mist, aveuglant Ordychia au passage. Sōma réalise ainsi que l'élément de Kôga est celui de la Lumière. Cela semble impossible à la Mante pour qui Kōga n'était qu'un enfant à peine capable d'enflammer son Cosmos. Alors qu'il puisse utiliser l'élément de la lumière lui est inconcevable. Kōga enjoint son ami à passer à l'attaque. Sōma ne se fait pas prier et exécute son arcane, le Flame Desperado : des flammes surgissent de son poing et emportent Ordychia dans un tourbillon incandescent. Il s'effondre, laissant Sōma victorieux. Mais le Martien a la vie dure et, titubant, il s'enfuit au loin. Sōma ne peut pour autant se permettre de le suivre. Il revient vers Kōga et, encore surpris par lui, lui dit qu'il retire ce qu'il lui avait lancé au visage un peu plus tôt. Lui tendant la main, il l'appelle Kōga “de Pégase”. Kōga l'attrape et remercie alors Sōma “du Petit Lion”.
Un peu plus loi, Ordychia, à bout de souffle a du mal à encaisser sa défaite. Il entend du bruit près de lui et sourit lorsqu'il découvre qui vient d'arriver. Malheureusement pour lui, c'est la mort qui l'attend : le nouveau venu l'exécute sans sommation de ses griffes tranchantes. Des griffes qui ne sont pas sans rappeler celles que possédaient la jeune femme issue du passé de Sōma...
Ailleurs, siégeant sur son sombre trône, le dieu Mars repense à l'élément de la Lumière et au fameux nouveau Saint, Kōga de Pégase.
Finalement, Kōga et Sōma arrivent devant une chaîne de montagnes enneigées. Selon Sōma, ils sont maintenant tout près de la Palestre. Kōga ne peut s'empêcher d'avoir une pensée pour Saori à qui il fait solennellement la promesse de devenir plus fort pour venir la libérer.
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Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01 | ||||||||||
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# | Début | Fin | Issue | |||||||
003 | Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01 | StS Omega - Episode 02 | Victoire de Kōga et Sōma | Kōga, Sōma | Ordychia |
Production
Réalisation, scénario, chara design
Réalisateur(s) | : | Hideki Hiroshima |
Storyboard | : | Eisaku Inoue |
Directeur(s) de l'animation | : | Emiko Miyamoto |
Scénario | : | Akatsuki Yamatoya |
Directeur(s) artistique | : | Tomoko Yoshida |
Réalisation, scénario, chara design
-
Plans
clé
- Emiko Miyamoto
- Takashi Nashizawa
- Nobuyoshi Sasakado
- Kazue Sakai
- Hiroki Morimune
- Nozomu Shishido
- Kōdai Watanabe
- Nobuhiro Masuda
- Yoshitaka Yashima
- Akira Takahashi
- Natsuko Suzuki
- Toshiharu Sugie
- Sadatoshi Matsuzaka
- Osamu Ishikawa
- Katsunori Enomoto
- Takenori Tsukuma
- Yōsuke Yabumoto
- Studio Guts
- Koa
- Studio Wanpack
- Acca effe
- Mutsu Planning
- drop
-
Intervalliste(s)
- Toei Phils.
- Kagura
- A-Line
-
Décors
- Magic House
- Yūko Azumi
- Daigorō Yamaguchi
- Shōji Tokiwa
-
Couleurs
digitales
- Toei Phils.
- Kagura
- A-Line
-
Coordination
couleurs
- Yūki Akimoto
-
Effets
spéciaux
digitaux
- Toshio Katsuoka
-
Prise
d'image
digitale
- Yuichirō Okano
- Satoshi Nakamura
- Atsunori Shinagawa
- Mitsuru Kuno
- 金珉序 (transcription incertaine)
- Wataru Nakamichi
-
Édition
- Kenta Katase
-
Enregistrement
audio
- Yasuo Tachibana
-
Assistant
à
l'enregistrement
audio
- Satoru Matsuda
-
Sélection
musicale
- Makiko Kayahara
-
Studio
d'enregistrement
- Studio Tavac
-
Effets
sonores
- Yūji Furuya (Swara Pro)
-
Assistant
du
réalisateur
- Masanori Satō
-
Assistant
de
production
- Yoshiaki Yanagi
-
Assistant
finitions
- Takahiro Kawamoto
-
Assistant
artistique
- Akihiko Yamaguchi
-
Enregistrement
- Minori Kajimoto
Seiyuu / Comédiens de doublages
- Kōga :Hikaru Midorikawa
- Sōma :Katsuyuki Konishi
- Shaina :Mami Koyama
- Tatsumi :Yukitoshi Hori
- Ordychia :Yasunori Masutani
- Mars :Hidekatsu Shibata
- Saori Kido :Shōko Nakagawa
- Narration :Tōru Furuya
International
France
Casting
- Kōga : Maxime Baudoin
- Sōma : Benoît Du Pac
- Shaina : Victoria Grosbois
- Tatsumi : Marc Bretonnière
- Ordychia : Vincent de Bouard
- Mars : Antoine Nouel
- Saori Kido : Virginie Ledieu
- Seiya : Éric Legrand
Version
française
produite
par :
Toei
Animation
Co,.
Ltd.
- Supervision artistique : Toei Animation Europe S.A.S.
- Direction de production : Pierre Belletante
- Chargée de production : Céline Lallement
- Chargé éditorial et littéraire : Charles Lamoureux
Studio : Lylo Post Production (système Play'R)
- Chargées de production : Haydee Parcollet et Lucie Nicod
- Adaptation : Didier Duclos
- Direction Artistique : Antoine Nouel
- Prise de son et mixage : Françoise Trouy, Melissa Petitjean, Ivan Gariel, Damien Chalumeau, Rémi Durel
Notes
- Le titre utilisé est : "Le Départ. Une nouvelle génération de Chevalier !"
- Benoît du Pac était notamment la voix de Yato dans l'adaptation animée de The Lost Canvas.
- Didier Duclos était déjà adaptateur sur le doublage des 18 derniers épisodes d'Hadès.
- Erreur de la VF : Ordychia se présente comme un Chevalier (celui de la Mante Religieuse) !
Références
Une élève de la Palestre, Yuna de l'Aigle, respecte passivement toutes les règles qu'on lui impose, telles que devoir dissimuler son visage derrière un masque. Mais sa rencontre avec Kōga va changer beaucoup de choses.
Récit
Et c'est ainsi qu'ils arrivèrent à la Palestre, l'école de Saints fondée par Athéna elle-même.
Dans la cour trône une statue de la déesse. Yuna s'y arrête lorsqu'elle passe devant et exécute une sorte de révérence, main sur le cœur. Elle commence à s'éloigner lorsqu'elle est interpellée par un autre élève, Spear, accompagné de ses deux acolytes, Rudolph et Gray. Celui-ci s'intéresse vraisemblablement à la nouvelle recrue, ce dont Yuna se moque éperdument. Les esprits commencent à s'échauffer. Seul Spear semble penser que Yuna plaisante et insinue qu'elle a dû mener le test à la légère. Il enfonce le clou en ironisant sur le fait qu'il lui est impossible de saisir l'expression de la jeune fille, si elle est en colère ou non. Yuna semble à cran mais parvient à prendre sur elle-même en précisant à Spear qu'elle est comme d'habitude. De plus, s'il a un problème avec elle, il n'a qu'à s'adresser directement à leurs enseignants. Seulement, s'il continue à se montrer insistant, elle sera prête à en découdre. Avant que Spear n'ait pu dire quoi que ce soit, Geki intervient et met un terme à la querelle tout en rappelant que les combats entre Saints d'un même camp sont formellement interdits. Les Saints portent leur Cloth pour défendre Athéna et la justice, non pour leurs intérêts personnels. Yuna présente ses excuses. Spear le fait également, à contre-cœur. Après le sermon de Geki, Yuna s'en va, suivie du regard par Kōga. Spear et ses comparses partent de leur côté.
Arrivés devant la statue d'Athéna, Geki et Sōma exécutent la révérence. Kōga est invité à faire de même car après tout, ils se doivent de saluer la statue d'Athéna dès qu'ils passent devant. Le jeune homme trouve cela d'un ennui profond. Geki lui donne alors un coup sur la tête et lui conseille de surveiller son langage. Tout Saint digne de ce nom doit respecter la déesse Athéna. Sōma intervient pour excuser son ami car après tout, il ne connaît pas leurs règles. Geki s'intéresse ensuite à la Cloth de Pégase et demande à Kōga la manière dont il est entré en sa possession. Ce à quoi le garçon lui répond qu'il l'a obtenue sur l'île où il a grandi, sûrement laissée là par Seiya, ce Saint qui lui a sauvé la vie. Geki reste sans réaction à ses propos.
Finalement, Kōga est amené directement par Sōma auprès du directeur attendant. Celui-ci lui explique que la Palestre est un lieu où les nouveaux Bronze Saints étudient ensemble, rivalisent et affûtent leur esprit. Il lui souhaite donc bonne chance. Sōma enjoint dès lors son ami à répondre. Contre toute attente, Kōga cherche à savoir où se trouve Athéna. Sōma s'excuse, pour la seconde fois de la journée, pour l'attitude du jeune homme. Le directeur attendant indique ensuite à Kōga que la déesse réside dans son temple. Il s'en réjouit, Athéna serait donc saine et sauve. Il apprend que le temple en question se trouverait au Sanctuaire, derrière les 12 Maisons du Zodiaque. Mais il lui sera cependant impossible de la rencontrer, à moins qu'il ne devienne Gold Saint, le rang le plus élevé de la chevalerie d'Athéna. Il reste seulement deux Gold Saints encore en activité et certains Saints s'entraînent périodiquement à la Palestre afin de combler un jour les postes manquants. Kōga pense donc qu'il lui suffirait de devenir Gold Saint pour qu'on veuille bien accéder à sa requête. Néanmoins, Sōma lui fait comprendre que ce n'est pas chose si aisée. Le Saint du Petit Lion est par la suite amené à faire son rapport sur la mission qui lui avait été confiée. Il explique que l'île où ont été relevées des secousses importantes a dû, de toute évidence, être ébranlée par la collision de deux puissants Cosmos. Et que, selon Kōga, Athéna elle-même aurait été enlevée. Le directeur attendant, surpris par ces propos, pense que si tel est le cas, il y aura de grands remous au Sanctuaire et au sein de la Palestre. Le directeur devra donc en être informé dès son retour. Kōga reste dubitatif, même s'il ne le montre pas. Après tout, il a bel et bien vu Saori disparaître sous ses yeux. La question est de savoir qui, à l'heure actuelle, se trouve dans son temple, si elle est Athéna.
Sōma conduit ensuite son ami dans la chambre qu'ils vont devoir partager. Kōga découvre bien vite que le rangement n'a pas l'air d'être son fort.
Puis l'heure du déjeuner a sonné. Au réfectoire, Kōga constate qu'il y a très peu de monde. Les vacances de printemps se terminant le lendemain, presque tous les élèves sont rentrés chez eux. Tout en mangeant goulûment, le jeune Saint dit à son compagnon qu'il doit retrouver Saori au plus vite et rassurer Shaina et Tatsumi. Sōma lui demande s'il est sûr que la jeune femme dont il est question est réellement Athéna. Kōga lui révèle qu'il n'en savait rien, du moins au départ, et regrette amèrement de ne pas l'avoir découvert plus tôt. Car alors il se serait entraîné sérieusement et n'aurait ainsi pas été mis en échec.
De retour à l'air libre, Sōma lui dit de ne pas culpabiliser car même s'il l'avait su, il n'aurait sans doute rien pu faire de plus. Kōga pense qu'il aurait au moins pu la protéger. Il enrage de ne pouvoir rencontrer Athéna. Malheureusement pour lui, ce sont les règles en vigueur. Mais il n'en a que faire puisqu'après tout, il veut simplement s'assurer au plus vite de la condition de leur déesse. Yuna, qu'ils n'avaient pas encore remarqué, se trouve non loin de là devant une fontaine, le nez plongé dans un livre. Elle leur assure qu'Athéna va bien, vu qu'elle l'a lu dans les étoiles. Sōma explique à Kōga que Yuna est capable de deviner le futur en observant le mouvement des étoiles. Pégase souhaite alors en savoir plus sur Saori, en précisant bien qu'il s'agit d'Athéna. Il insiste tellement que Yuna est sur le point d'en dire plus lorsque Kōga change subitement de sujet et cherche à savoir pour quelle raison elle porte un masque. La jeune Saint, irritée, quitte soudain les lieux sans dire un mot.
Des souvenirs du passé reviennent en mémoire de la Saint de l'Aigle. Quelques années auparavant, alors qu'elle n'était encore qu'une enfant, une femme lui avait remis son masque en précisant que toutes les femmes Saints étaient tenues d'en porter un. Elle l'avait ensuite poussée à devenir une femme Saint plus puissante que n'importe qui. À compter de ce jour, elle serait le poing d'Athéna. En suivant la déesse, elle trouverait certainement ce qu'elle désirait. Yuna avait dès lors mis le masque sur son visage et juré qu'elle deviendrait une femme Saint exceptionnelle. Elle protègerait Athéna, ainsi que le bonheur de tous les gens de ce monde.
Yuna sort de sa rêverie parmi les étoiles du planétarium de la Palestre.
De son côté, Kōga s'est rendu dans une impasse pour plus de tranquillité. Il tente vainement de faire apparaître la Cloth de Pégase. Fixant, déçu, la Clostone au creux de sa main, il repense aux paroles de Sōma en rapport avec la chose terrible qui est arrivée à Athéna. Son ami lui avait bien dit qu'un simple Bronze Saint ne pouvait rien y faire et qu'il devait d'abord rester ici pour devenir plus fort. Kōga retente sa chance et sa Cloth apparaît finalement sur lui. Ce qu'il ne sait pas, c'est qu'il est observé par Spear et ses deux comparses. Il repense à la technique du Pegasus Ryūsei Ken dont il s'était servi contre Mars, certain de pouvoir en faire usage de nouveau. C'est à ce moment-là que le petit groupe le rejoint. Rudolph désire savoir si cette Cloth est bien celle de Seiya, le Saint légendaire. Kōga estime que cela ne les regarde pas. Spear se montre et ironise sur le fait que Kōga soit déjà prêt à enfreindre les règles dès son arrivée. Les batailles entre Saints étant interdites, ceci ferait l'objet d'un renvoi pur et simple de l'école. Il s'intéresse lui aussi à la Cloth de Pégase et à la façon dont Kōga l'a obtenue. Il fait remarquer qu'un type dans son genre ne devrait pas l'avoir. Kōga, sur les nerfs, lui fait face : il ne dira rien du tout, il s'agit de sa Cloth et il se fiche bien de l'opinion des autres. Un coup donné instinctivement effrite sévèrement le mur à côté de lui, créant de larges fissures. Spear, pris dans un nuage de fumée, est prêt à en découdre mais il découvre bien trop tard que Kōga a déjà disparu.
Plus loin, Kōga, qui a enlevé sa Cloth, arrive essoufflé devant le planétarium et pénètre à l'intérieur. Les yeux rivés sur les étoiles qui l'entourent, il remarque la présence de Yuna. Celle-ci lui désigne sa constellation, celle de Pégase, selon la position de 4 étoiles : Markab, l'étoile Alpha; Sheat, l'étoile Beta; Algenib, l'étoile Gamma et Alpheratz de la constellation d'Andromède. Ensemble, elles forment le Grand Carré de Pégase. Yuna ajoute que les Saints de Pégase sont d'un tempérament égoïste, rustre, déterminé et ambitieux. Puis vient la question de la condition d'Athéna. Pour Yuna, c'est à Kōga de voir s'il la croit ou non. Parmi toutes les étoiles scintillantes, la jeune Saint lui montre celle d'Athéna, la plus lumineuse entre toutes. Mais elle fait remarquer qu'une ombre l'a en partie obscurcie. Quelque chose menace Athéna. Pourtant, il leur reste encore du temps avant qu'elle ne soit avalée par les ténèbres. Kōga la remercie pour toutes ces précisions. Il pense qu'il peut lui faire confiance car après tout, elle est également inquiète pour Athéna et lui a répondu le plus sérieusement du monde. Ou tout du moins il le suppose puisque son visage étant dissimulé derrière un masque, il ne peut juger de ses expressions. Yuna revient sur sa précédente définition des Saints de Pégase et précisent que même s'ils se comportent mal, ce sont aussi des gens sincères.
En chemin, la discussion continue de plus belle. Kōga pense que Yuna est libre de faire tout ce qui lui plaît mais elle en est moins sûre. Comme par exemple cesser de porter son masque et sentir de cette manière le vent, son élément, sur son corps tout entier. Pourtant, il lui est impossible de l'enlever. Une femme Saint est obligée de dissimuler son visage lorsqu'elle s'engage sur la voie des Saints. Dans le cas où son adversaire verrait son visage, elle se retrouverait dans l'obligation ou de le tuer ou bien de l'aimer. Elle ignore d'ailleurs qui en a décidé ainsi. Kōga s'étonne de la voir se plier à cette coutume sans en savoir la raison mais pour Yuna c'est précisément parce que c'est une de leurs règles qu'elle doit s'y plier. Passant devant la statue d'Athéna, elle se montre de nouveau révérencieuse tandis que Kōga réalise qu'il y a vraiment plein de lois à respecter en tant que Saint. Arrivés au beau milieu de ruines d'un vestige du passé, celui-ci dit refuser de suivre des règles qui ne lui conviennent pas. Mais comme le lui fait clairement entendre Yuna, leur opinion importe peu. Kōga n'est pas de cet avis, il se doute bien que la jeune fille souhaiterait retirer son masque et que ça ne l'enchante guère d'en être empêchée. Lui-même, il se contente de suivre son propre chemin, peu importe les règles. À ce moment précis, Spear fait son apparition et félicite le Saint de Pégase pour son discours. Il ajoute qu'il n'est donc pas doué que pour la fuite. Kōga s'en défend car après tout aucune règle n'interdisait Spear de le rattraper. Yuna sent que les choses risquent de s'envenimer, et c'est le cas. Spear trouve bien dommage qu'aucune règle ne permette de renvoyer un type dans son genre. À ces paroles, Kōga s'emporte et Yuna est obligée de s'interposer, leur rappelant vainement que les Saints ne sont pas autorisés à se battre entre eux. Le jeune homme se moque des règles et, prêt à en découdre, affirme qu'il ne suit que celles que lui dictent son coeur. Spear revêt alors sa Cloth, celle de la Dorade et Kōga celle de Pégase tandis que Yuna tente une nouvelle fois de les raisonner. Mais le Saint de Pégase n'en a cure. Et Spear de lui jeter au visage qu'une femme Saint ferait mieux de porter son masque et de se taire. Cette fois-ci, il est allé beaucoup trop loin. Yuna ne parvient plus à contrôler sa colère qui se manifeste sous la forme d'un vent puissant. Encore une fois, Geki intervient à point nommé et leur répète que ce genre de combat est interdit. Néanmoins, c'est une toute autre histoire s'il leur accorde son autorisation. Il en effet temps de mettre un point final à cette querelle.
Ainsi, Yuna, revêtue de la Cloth de l'Aigle, fait face à Spear de la Dorade. Kōga, de son côté, est de nouveau en tenue civile et se plaint du fait que Yuna ait pris sa place. La jeune fille se remémore les conseils donnés quelques minutes auparavant par Geki. Pour lui, elle était une excellente élève mais n'avait pas compris quelque chose en tant que Saint. Elle allait donc devoir se battre de toutes ses forces pour comprendre de quoi il s'agissait.
Le combat commence enfin. Yuna invoque le Blast Scythe, générant une rafale de vent à l'aide de ses jambes. Quant à Spear, il exécute le Swordfish Cutter, projetant une attaque en forme de croix. Les deux techniques se percutent et s'annulent. Vient ensuite le duel au corps-à-corps, Spear s'aidant de ses bras et Yuna de ses jambes. Alors que la bataille fait rage, la Saint de l'Aigle repense à ce qui pourrait bien lui manquer en tant que Saint et repousse son adversaire qui s'élance de nouveau. Les coups pleuvent de toutes parts, chacun étant décidé à ne pas céder du terrain. Yuna réalise la puissance de Spear qui cherche à la forcer à se battre sérieusement. Elle repasse alors à l'offensive. Geki, sans perdre une miette du combat, explique à Kōga, impressionné, que des personnes qui refusent les règles comme lui sont problématiques. Mais suivre les règles avec rigueur comme le fait Yuna n'est sans doute guère mieux. Il lui révèle alors qu'il a lui-même déjà enfreint leurs lois par le passé, du temps où il était encore un Saint en service actif. Lui et ses amis étaient à ce moment-là devenus la cible du Sanctuaire. Mais de ce fait, il avait pu rencontrer d'incroyables compagnons face à l'adversité, faisant bien évidemment référence à Seiya et aux autres Bronze Saints légendaires. Et aujourd'hui, il est enseignant à la Palestre. Pour autant, il n'en est pas devenu un Saint exemplaire et docile suivant les règles à la lettre. Les véritables Saints qu'il connaît sont des personnes qui ont su imposer leur détermination et les règles dictées par leur âme. Yuna devrait donc, de l'avis de Geki, commencer par accepter ses véritables sentiments. La jeune fille, quant à elle, se retrouve acculée par la dernière attaque de Spear qui l'immobilise à terre. Spear clame haut et fort sa victoire. C'est alors que le regard de Yuna se pose sur l'étoile d'Athéna. Contre toute attente, elle entend Kōga la sermonner : si elle perd, elle le regrettera toute sa vie. Quoiqu'il arrive, elle se doit de gagner car sinon les choses resteront en l'état, rien ne changera. Elle doit, tout comme lui, créer son propre chemin. Ces mots lui font l'effet d'une bombe. Elle comprend qu'il n'est plus temps d'hésiter. Autrefois, elle a juré solennellement de devenir plus puissante que n'importe qui et de protéger Athéna ainsi que le bonheur de tous. Alors qu'un vent s'est dressé autour d'elle, son masque se fissure. Son pouvoir la libère de l'étreinte de son adversaire. Et finalement, elle envient à ôter son masque. Puis, sans perdre une seconde, elle exécute la Divine Tornado, créant ainsi une tornade ravageuse qui emporte Spear. Yuna, Saint de l'Aigle, s'est enfin libérée de ses chaînes. Geki approuve ce choix tandis que la jeune fille et Kōga s'échangent un sourire. Ce dernier reconnaît d'ailleurs qu'elle est exceptionnelle. Yuna rejoint ensuite Spear, resté à terre. Il sait parfaitement que dès qu'une femme Saint retire son masque, deux choix s'imposent à elle. Mais Yuna n'a nullement l'intention d'obéir à ces principes, l'ayant décidé en son âme et conscience. Spear admet ainsi sa défaite.
Le lendemain, tandis que les cours sont sur le point de commencer et que tous les élèves se dirigent vers leur salle de classe, les amies de Yuna, également femmes Saints, ont la grande surprise de la voir au grand jour sans son masque.
Puis, finalement, Kōga est invité à se présenter à ses nouveaux camarades.
Au même moment, le directeur attendant est venu faire son rapport à son supérieur. Ce dernier est au courant qu'un jeune garçon particulièrement vif les a rejoints et a hâte de le rencontrer...
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2012-09-30 : récit complet (review archange), notes
Notes
- Cet épisode a réalisé un taux d'audience de 2,3 %.
- Dans le planétarium, Yuna montre un astre qu'elle décrit comme étant l'étoile d'Athéna. On remarque qu'autour de celui-ci gravitent cinq petites étoiles qui sont aux couleurs des cosmos des Saints Légendaires : bleue (Seiya), blanche (Hyōga), verte (Shiryū), rose (Shun) et orange (Ikki).
- Une image apparaît afin d'illustrer les trois grades de Saint du Sanctuaire. A noter que les armures qui y sont dévoilées ne correspondent à aucun Saint existant.
- Erreur : le dialogue entre Kōga, Sōma et le directeur attendant est étrangement incohérent : dans un premier temps, le directeur intendant dit qu'Athéna se trouve au Sanctuaire, et Kōga demande alors comment la voir, ce qui donne de longues explications sur le fonctionnement de l'armée des Chevaliers, les grades, etc. et dans un deuxième temps, Sōma révèle au directeur attendant qu'Athéna a été enlevée. On se demande alors pourquoi Kōga laisse parler le directeur intendant au lieu de lui dire dès le début de cette conversation qu'Athéna ne peut pas être au Sanctuaire puisqu'elle a été enlevée sous ses yeux par Mars.
- Erreur : dans la scène où Yuna fait face à Spear et ses deux acolytes, nous voyons les protagonistes une fois par la droite, une fois par la gauche, et les deux fois la statue d'Athéna apparaît derrière eux, ce qui est impossible puisqu'ils n'ont pas bougé, et qu'il n'y a qu'une statue dans la cour.
Personnages présents |
Attaques utilisées |
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Combats débutant dans ce chapitre / épisode
Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01 | ||||||||||
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# | Début | Fin | Issue | |||||||
004 | Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01 | StS Omega - Episode 03 | Victoire de Yuna | Yuna | Spear |
Production
Réalisation, scénario, chara design
Réalisateur(s) | : | Rie Matsumoto |
Directeur(s) de l'animation | : | Yōichi Oonishi |
Scénario | : | Reiko Yoshida |
Directeur(s) artistique | : | Makoto Suwada |
Réalisation, scénario, chara design
-
Plans
clé
- Masahiro Naoi
- Yasuhiko Ooyama
- Nobuhiro Masuda
- Yoshitaka Yashima
- Hiroki Morimune
- Wataru Nakamichi
- Hiroaki Imaki
- Yōichi Oonishi
- Chizuru Mori
- Shigenori Taniguchi
- Takayuki Manaka
- Kōdai Watanabe
- Studio Fantasia
- Triple A
- Acca effe
- Studio Wanpack
- Toei Phils.
-
Intervalliste(s)
- Kagura
- A-Line
-
Décors
- KLAS
- Yoshito Watanabe
- Yūki Nakabayashi
- Hiroyuki Tsubaki
- Mukuo Studio
- Katsunori Ishida
- Shintarō Inoue
- Takahito Nakane
- Yoshiyuki Shikani
- Magic House
- Tomoko Yoshida
- Daigorō Yamaguchi
-
Couleurs
digitales
- Kagura
- A-Line
-
Coordination
couleurs
- Tomoko Kohioki
-
Effets
spéciaux
digitaux
- Toshio Katsuoka
-
Prise
d'image
digitale
- Keisuke Hikosaka
- Masatoshi Hamasaki
- Kenji Kobayashi
- Jun Takeda
- Yūsuke Yamamoto
- Masaaki Onodera
-
Édition
- Kenta Katase
-
Enregistrement
audio
- Yasuo Tachibana
-
Assistant
à
l'enregistrement
audio
- Satoru Matsuda
-
Sélection
musicale
- Makiko Kayahara
-
Studio
d'enregistrement
- Studio Tavac
-
Effets
sonores
- Yūji Furuya (Swara Pro)
-
Assistant
du
réalisateur
- Yūsuke Suzuki
-
Assistant
de
production
- Satoshi Hirai
-
Assistant
finitions
- Takahiro Kawamoto
-
Assistant
artistique
- Akihiko Yamaguchi
-
Enregistrement
- Minori Kajimoto
Seiyuu / Comédiens de doublages
- Kōga :Hikaru Midorikawa
- Sōma :Katsuyuki Konishi
- Yuna :Satsuki Yukino
- Geki :Kiyoyuki Yanada
- Directeur :Ryūzaburō Ōtomo
- Directeur attendant :Naomi Kusumi
- Maître de Yuna :Ai Orikasa
- Spear :Yūsei Oda
- Rudolf :Yasuhiko Tokuyama
- Gray :Kōta Nemoto
- Komachi :Umeka Shōji
- Arne :Kozue Kamada
- Narration :Tōru Furuya
International
France
Casting
- Kōga : Maxime Baudoin
- Sōma : Benoît Du Pac
- Yuna : Maëlys Ricordeau
- Geki : Éric Peter
- Directeur : Marc Bretonnière
- Directeur attendant : Vincent Ribeiro
- Maître de Yuna : Coralie Coscas
- Spear : Arthur Pestel
- Rudolph : Vincent Ribeiro
- Gray : Vincent de Bouard
- Komachi : Coralie Coscas
- Narration : Éric Legrand
Version
française
produite
par :
Toei
Animation
Co,.
Ltd.
- Supervision artistique : Toei Animation Europe S.A.S.
- Direction de production : Pierre Belletante
- Chargée de production : Céline Lallement
- Chargé éditorial et littéraire : Charles Lamoureux
Studio : Lylo Post Production (système Play'R)
- Chargées de production : Haydee Parcollet et Lucie Nicod
- Adaptation : Didier Duclos
- Direction Artistique : Antoine Nouel
- Prise de son et mixage : Françoise Trouy, Melissa Petitjean, Ivan Gariel, Damien Chalumeau, Rémi Durel
Notes
- Le titre utilisé est : "La loi du masque. Le chevalier qui maîtrisait le vent !"
- Éric Peter était la voix d'Hypnos dans les OAVs d'Hadès. En outre, le personnage de Geki avait été interprété par plusieurs comédiens auparavant mais la plupart d'entre eux sont décédés.
- Arthur Pestel avait doublé Sisyphe et Morpheus dans l'adaptation animée de The Lost Canvas.
- Vincent Ribeiro était notamment la voix de Thanatos et Ikelos dans l'adaptation animée de The Lost Canvas.
- Bien que ce ne soit pas véritablement une erreur, le nom de Geki est ici prononcé "Guéqui" alors qu'il était plus habituel de l'entendre prononcé "Jéqui" auparavant.
- Le personnage d'Arne est muet en VF.
- Le générique français crédite Antoine Nouel pour Mars alors que le personnage n'apparaît pas. Le nom de Pavlin y est également mal orthographié (Pavline).
Références
Ryūhō, nouveau Saint du Dragon et fils de Shiryū, est de retour à la Palestre. Une occasion inespérée de voir renaître le duel légendaire qui, autrefois, opposa Pégase au Dragon.
Récit
En salle de classe, Sōma s'indigne que son ami ait voulu s'en aller et ajoute qu'il aura des problèmes si les enseignants viennent à l'apprendre. Yuna surenchérit, il n'aura pas droit qu'à une simple suspension. Seulement, Kōga prend tout à la légère. Il pense surtout au mystérieux garçon croisé un peu plus tôt et se demande bien qui il peut être. Yuna récapitule les faits : il est capable d'utiliser les éléments sans porter de Cloth, c'est qu'il doit donc être très doué. A côté d'eux, tous les élèves saluent un nouvel arrivant. Kōga s'imagine d'office qu'il s'agit d'un professeur. Sauf que, comme le lui apprend Sōma, c'est un Saint en service actif. Kōga ne cache pas sa surprise, surtout qu'il le trouve plutôt âgé. L'homme en question, de la génération de Geki et s'entraînant ici car il n'a pas encore découvert son élément, n'est autre qu'Ichi de l'Hydre ! Kōga ne peut s'empêcher de faire une remarque déplaisante. Enervé, Ichi le prend à parti, d'autant plus lorsqu'il est apprend qu'il s'agit d'un nouveau. Le Saint de Pégase estime perdre son temps et avoue être à la recherche de quelqu'un. C'est alors qu'il se retrouve face au mystérieux garçon prénommé Ryūhō. Tout le monde se réjouit de son retour. Pour sa part, Sōma est heureux de constater que Kōga a déjà rencontré Ryūhō qui n'est autre que le fils de Shiryū, l'un des Bronze Saints légendaires. Le garçon s'est entraîné sous la direction de son père et a, par ailleurs, hérité de la Cloth du Dragon. Ryūhō est enchanté de faire la connaissance de Kōga qu'il appelle “Pégase”. Passablement irrité, celui-ci lui fait clairement comprendre qu'il a un nom et revient sur ce qu'il lui a dit le matin même. Ryūhō lui assure pourtant qu'il n'y avait aucun sous-entendu, il ne s'est tout simplement pas encore éveillé pour l'instant, sa place est donc ici. La cloche se met alors à sonner. Kōga n'a pas le temps de réagir que son nouveau camarade l'a déjà entraîné après lui.
Le cours, tenu par un enseignant du nom de Georges, va commencer. Lorsqu'il remarque la présence de Ryūhō, il tient à s'assurer que tout va bien pour lui. Le garçon le rassure : grâce à une cure de repos forcée dans sa contrée natale, il va beaucoup mieux désormais. Kōga apprend ainsi que Ryūhō a des problèmes de santé et qu'il a toujours eu un corps assez faible. Leur professeur les invite à taire leurs bavardages. Puis vient l'instruction à proprement parler. Première mission pour les Saints en formation : endosser le bras de leurs Cloths. Yuna, Sōma et Ichi y parviennent aisément. Seul Kōga semble éprouver quelques difficultés. Ryūhō lui conseille de se concentrer là où il veut la porter et, en guise de démonstration, fait appel au bras de la Cloth du Dragon. Kōga, impressionné, met les conseils de son camarade en pratique et parvient finalement à faire apparaître le bras de la Cloth de Pégase. Il s'en réjouit tandis que Georges lui fait toutefois comprendre que n'importe quel Saint en est capable, il n'y a donc aucune raison de s'enthousiasmer pour autant. Le professeur ne semble guère l'apprécier, tout comme il n'a pas l'air de penser qu'il soit digne de la Cloth de Pégase. Puis le cours reprend. Georges fait apparaître de nombreuses stèles de pierres. Ryūhō explique qu'elles sont fabriquées à partir de Stardust Sand, un minerai provenant des strates grecques. Leur solidité serait apparemment proche de celle des Bronze Cloths. Le professeur intime ensuite l'ordre aux élèves de se mettre en position et de préparer leurs éléments. Tous, hormis Ryūhō et Kōga, attaquent alors les stèles à l'aide de leur attribut élémentaire. Sōma et Yuna y parviennent sans mal, incitant Kōga à faire de même. Mais il demeure incapable de faire sortir son élément. Ryūhō, apprenant qu'il voit certains de ces éléments pour la première fois, se charge de lui donner les explications de base. Il en existe 7 au total (le Feu, le Vent, la Foudre, la Terre, l'Eau, la Lumière et les Ténèbres). Ryūhō attaque alors à l'aide de l'Eau et détruit complètement la stèle à la grande surprise de Kōga. Il ajoute que, de plus, les éléments ont leurs forces et leurs faiblesses. Le Saint de Pégase en a la preuve quand les attaques des Saints de la Foudre rencontrent celles des Saints du Vent dont fait partie Yuna. Le Vent est en effet plus fort contre la Foudre. Puis viennent les attaques du Vent contre celles du Feu envoyées par le groupe de Sōma. Ainsi, tout comme le Feu l'emporte sur le Vent, chaque élément possède des avantages et des désavantages. Toutefois, la Lumière et les Ténèbres sont un cas à part. Par la suite vient le tour de Ryūhō lorsque l'Eau se retrouve confrontée à la Terre. L'Eau échoue contre les murs de pierre érigés par les Saints de la Terre donc Kōga en conclut que l'Eau est forcément faible face à la Terre. Mais une offensive efficace de Ryūhō le conduit à réviser son jugement : l'Eau pulvérise le mur de pierre créé par une jeune Saint. Le garçon se précipite aussitôt vers elle pour s'assurer qu'elle va bien. Selon Ichi, les éléments ont des affinités. Mais avec un puissant Cosmos, il est possible de briser leurs limites. Il révèle par la même occasion à Kōga qu'au contact d'une puissance cosmique, les Cloths sont devenues des Clostones, acquérant ainsi un nouveau pouvoir. Et les Saints sont ainsi entrés dans une nouvelle ère, celle des éléments. Aujourd'hui, on ne sert malheureusement plus à rien si on n'est pas capable d'utiliser d'éléments, à l'instar d'Ichi qui peine à maîtriser le sien. De son côté, Ryūhō est entouré de ses camarades, visiblement impressionnés par sa performance, comme l'est Georges qui ne peut s'empêcher de le comparer à son “opposé”, Pégase. Pourtant, Kōga est bien décidé à tout faire pour utiliser et maîtriser au plus vite son élément.
Le soir venu, Kōga se rend à l'extérieur de la Palestre et se souvient des conseils prodigués par Sōma pour faire exploser son Cosmos. Il tente de renouveler l'expérience, en vain. Pourtant, la dernière fois il était parvenu à faire sortir son élément, la Lumière. Ryūhō, arrivé sur place, lui offre son soutien. Il tient à s'assurer que Kōga n'ait plus l'intention de partir. Mais le jeune homme souhaite rapidement avoir la maîtrise de son élément. Ryūhō lui dit de ne pas s'en faire. La lueur de Kōga est encore faible, néanmoins il est certain qu'il renferme en lui une puissante Lumière. Soudain, le Saint du Dragon commence à se sentir mal mais assure aller bien à un Kōga alarmé. Il n'était pas revenu en cours depuis longtemps et doit donc être un peu fatigué. Kōga se pose quand même une question : pourquoi a-t-il choisi de devenir Saint malgré une faible condition physique ? Ryūhō lui confie alors son secret. Sa priorité est de faire revenir son père à son état d'origine. Lorsqu'il était encore très jeune, son père, Shiryū, a été privé de ses cinq sens au cours d'un combat. Pendant toute son enfance, Ryūhō a été entraîné sous la houlette de son père. Il se souvient alors de sa mère, Shunrei, qui l'observait en pleine méditation face à Shiryū devant la grande cascade de Rozan aux Cinq Pics. En effet, son père communique à-travers son Cosmos. Le Cosmos de Shiryū a appelé celui de son fils vers lui, et il l'a élevé de cette manière. Ryūhō continue d'expliquer à Kōga, impressionné par les capacités du Cosmos, que ça ne se limite pas non plus à la communication. Effectivement, son père a autrefois récupéré la vue en l'augmentant à son paroxysme. Et ainsi, en faisant de même, Ryūhō est certain de pouvoir le guérir. Pour se faire, il doit absolument obtenir un puissant Cosmos. Puis, réalisant qu'il a beaucoup trop parlé de lui, il s'intéresse à son tour au choix de Kōga de devenir Saint. Ce dernier lui apprend que c'est dans le but de sauver Saori et qu'il doit pour cela mettre tout en œuvre pour devenir plus puissant. Ryūhō ne le montre pas mais il est surpris que Kōga connaisse le nom d'Athéna. Tout à coup, les deux amis sont interpellés par leur enseignant, Georges, visiblement mécontent qu'ils aient fait abstraction du couvre-feu. Kōga s'en excuse mais il n'en n'a que faire, d'autant plus qu'il a entraîné Ryūhō là-dedans. Le jeune garçon tente de se défendre, seulement son professeur ne veut rien savoir et annonce qu'il va être dans l'obligation de les punir tous les deux. Contre toute attente, Ryūhō avoue avoir vu Kōga sortir et être venu voir ce qu'il faisait. Il va même plus loin en dévoilant le fait que celui-ci ait voulu quitter l'école le matin même. Georges estime que Kōga n'en fait qu'à sa tête et mériterait en conséquence une expulsion. Le Saint de Pégase en veut à Ryūhō qui ne désire pas être puni à cause de lui. Ce dernier propose alors une autre alternative à son professeur : un duel entre lui et Kōga. Le gagnant sera exempté de punition. Georges trouve la proposition intéressante, surtout à l'idée d'avoir un face-à-face entre le Dragon et Pégase. Kōga veut à tout prix savoir ce que Ryūhō a derrière la tête. Pour le fils de Shiryū, une suspension serait gênante car il n'a pas de temps à perdre inutilement.
Dans une immense salle de la Palestre baignée de la lumière du soir qui filtre à-travers les vitraux, Sōma et Yuna ont rejoint Kōga, déjà revêtu de la Cloth de Pégase. Sōma pense que son ami est fou de vouloir se battre contre Ryūhō. Mais Kōga n'y peut rien, il sera puni s'il décline l'invitation au combat. Yuna plaisante sur le fait que même s'il accepte, le résultat sera le même. Kōga lui reproche d'être dure envers lui et tient à ce que ses deux amis lui donnent un conseil pour pouvoir se défaire de son adversaire. Sōma, sur le ton de la plaisanterie, lui dit de se battre. Et plus sérieusement, Yuna lui signale que, vu la condition physique de Ryūhō, il devrait au moins avoir l'avantage au corps à corps. C'est à ce moment-là que le fils de Shiryū fait son entrée et assure au Saint de Pégase qu'il ne lui fera pas de cadeaux. Puis, faisant appel à sa Clostone, la bague à son doigt, il endosse la Cloth du Dragon. Georges préside le duel, tandis que Geki et Ichi, restés à l'écart, observent les deux combattants avancer l'un vers l'autre. Yuna, elle, ne comprend toujours pas la raison qui a poussé Ryūhō à vouloir défier Kōga, surtout que ça ne lui ressemble pas d'agir de cette manière. Par la suite, Ryūhō apprend à Kōga qu'autrefois, Pégase et le Dragon s'étaient déjà affrontés, Pégase ayant au final remporté la victoire. Ce match est donc l'occasion pour le garçon de venger l'honneur de son père. Toutefois, Kōga n'en a cure. Peu lui importe ce qu'a pu faire l'ancien Pégase. Ce qu'il veut lui, c'est tout simplement gagner avec ses propres poings. Puis finalement, Geki annonce le début du duel. Kōga s'élance mais manque Ryūhō qui s'est écarté au dernier instant. Il tente de nouveau de le toucher mais toutes ses tentatives se soldent par un échec. Ryūhō lui apprend alors qu'il est capable de prédire ses mouvements en ressentant les vibrations de son Cosmos. Il peut ainsi l'éviter avec un minimum de déplacements. Kōga s'emporte et retente sa chance de nouveau, mais en vain. Son adversaire a bel et bien l'avantage sur lui. Georges affirme pour sa part que Kōga ne peut affronter quelqu'un comme Ryūhō, n'arrivant pas lui-même à utiliser son élément. Malgré tout, Pégase pense que sa propre volonté lui permettra de gagner. Ryūhō passe alors à l'offensive en créant une boule d'eau. Et pendant que Kōga se jette sur lui, il lance le Suihakkei, le projetant un peu plus loin. Ichi, quant à lui, est persuadé que Kōga ne peut remporter la victoire vu qu'il ne sait pas utiliser son élément. Le jeune homme tente une autre charge mais subit de nouveau les trombes d'eau envoyées par son adversaire. Pourtant, il se relève encore. Il a subit tellement d'épreuves lors de son entraînement auprès de Shaina que pour lui, ceci n'est rien à côté. Se jetant de nouveau sur Ryūhō, il est cueilli cette fois-ci par le Kyōka Suigetsu. Mais il parvient tout de même à passer au-travers et frappe Ryūhō avant de se rendre compte que celui-ci s'est servi du bouclier du Dragon pour le bloquer. Puis Ryūhō enchaîne avec une attaque tranchante constituée d'eau, se débarrassant une nouvelle fois de Pégase. Malheureusement pour lui, il sent son corps s'affaiblir peu à peu. Selon lui, les attaques de Kōga seront inutiles face à son bouclier, réputé être le plus solide parmi les Bronze Cloths. Georges pense que le vainqueur est tout désigné, seulement Kōga n'a pas dit son dernier mot. Ryūhō, de son côté, s'est fixé un objectif important, il n'a donc pas de temps à perdre avec lui. Kōga lui renvoie ses propres paroles au visage. Il est ainsi grand temps de mettre un terme au duel. Emporté par une nouvelle salve d'eau, la détermination du Saint de Pégase reste sans faille. Tenant difficilement sur ses jambes, il affirme qu'il retrouvera Saori, coûte que coûte. A la surprise générale, son élément, la Lumière, irradie de sa Cloth et, créant une boule de lumière qui prend rapidement de l'ampleur, il exécute une nouvelle arcane, le Pegasus Senkō Ken ! Ryūhō a bien du mal à résister même avec l'aide de son bouclier et finit par céder et être expulsé à l'autre bout de la salle. Yuna et Sōma sont abasourdis. Essouflé, Kōga voit ensuite une trombe d'eau apparaître et laisser la place à Ryūhō, de nouveau sur pieds, malgré que sa condition physique continue de se détériorer. C'est son bouclier qui l'a protégé, sinon il aurait été exposé au danger. Il n'en attendait pas moins du Saint de Pégase et se prépare dès lors à l'affronter sérieusement. Vu que son corps atteint ses limites, il ne pourra plus porter qu'un seul et unique coup. Se concentrant, il enflamme progressivement son Cosmos et lance l'arcane fétiche du Saint du Dragon, le Rozan Shō Ryū Ha. Kōga, complètement démuni, prend l'attaque de plein fouet et retombe, à demi-inconscient. Le vainqueur est annoncé : Ryūhō du Dragon. Ceci dit, le jeune garçon a réalisé son attaque juste à temps car, à bout de forces, il tombe à genoux. Sōma et Yuna se précipitent aussitôt vers lui. Et lorsque qu'il remarque que Kōga reprend ses esprits, il s'approche de lui et lui tend la main. D'abord surpris, Kōga l'attrape mais ils tombent tous les deux sur leur séant. Yuna, tout sourire, est certaine que le Dragon a fait exprès de provoquer ce duel entre eux. Et cela dans le but de faire ressortir l'élément et le Cosmos de Kōga. Ryūhō apprend à Kōga que, certes son père et Pégase se sont affrontés, mais sont ensuite devenus amis et ont développé leurs Cosmos ensemble. Les Saints deviennent plus forts quand ils évoluent avec des compagnons, voilà la conclusion à laquelle il est arrivé. La technique de lumière de Kōga lui a permis de voir la magnifique lueur de son Cosmos. Le Saint de Pégase lui confie alors qu'il en a tout autant à son égard. De son côté, Geki a rejoint Georges. Il pense qu'en échange d'un si glorieux combat, les deux camarades pourraient être exemptés de punition, trouvant cette nouvelle génération exceptionnelle. Georges sent bien qu'il n'a pas le choix. Quant à Ryūhō, il dévoile à Kōga qu'un tournoi entre Saints va prendre place à la Palestre, le “Saint Fight”. Et il paraîtrait que le gagnant aurait le privilège de rencontrer Athéna en personne. Kōga n'en revient pas. Cependant, Ryūhō précise bien qu'il sera impossible de gagner sans utiliser aussi bien le Cosmos que les éléments. Le Saint de Pégase réalise qu'il va devoir s'entraîner davantage mais son nouveau compagnon compte également devenir plus puissant d'ici le début du tournoi afin de le battre facilement. Le sourire aux lèvres, Kōga est sûr de ne pas perdre la prochaine fois. Ryūhō lui rend son sourire. Une nouvelle amitié vient de naître.
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2012-09-30 : récit complet (review archange), notes
Notes
- Cet épisode a réalisé un taux d'audience de 1,5 %.
- Au début de l'épisode, Ichi lance un jeu de mot à Kōga. En japonais, l'expression 歯に衣着せぬ - ha ni kinu kisenu, mot à mot "ne pas avoir de vêtement/tissu sur les dents", signifie "avoir un franc-parlé/ne pas mâcher ses mots". Cependant, le kanji prononcé "kinu" 衣 ("vêtement/tissu") dans cette phrase est aussi utilisé dans le terme, inventé par Kurumada, 聖衣 "Cloth" (sacré+ vêtement/tissu). Le jeu de mot d'Ichi consiste donc à remplacer "kinu" 衣 par "Cloth" 聖衣 dans cette expression.
-
- お前は歯に聖衣着せぬ... いいえ、歯に衣着せぬ物言い
- omae ha ha ni Cloth kisenu... iie, ha ni kinu kisenu mono ii
Mot à mot
-
- Tu "n'as pas de Cloth sur les dents" (ne mâches pas tes mots)... non, tu "n'as pas de tissu sur les dents" (ne mâches pas tes mots).
Ce
jeu
de
mot
est
inadaptable
directement
en
français
(voir
plus
bas).
Personnages présents |
Attaques utilisées |
---|---|
|
Combats débutant dans ce chapitre / épisode
Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01 | ||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
# | Début | Fin | Issue | |||||||
005 | Saint Seiya Omega Blu-ray & DVD 01 | StS Omega - Episode 04 | Victoire de Ryūhō | Kōga | Ryūhō |
Production
Réalisation, scénario, chara design
Réalisateur(s) | : | Makoto Sonoda |
Storyboard | : | Toshinori Fukusawa |
Directeur(s) de l'animation | : | Terumi Nishii |
Scénario | : | Isao Murayama |
Directeur(s) artistique | : | Osamu Honda |
Réalisation, scénario, chara design
-
Plans
clé
- Terumi Nishii
- Osamu Ishikawa
- Kazuyuki Igai
- Noriko Itō
- Mami Sodeyama
- Yūta Kiso
- Yūichi Hamano
- Takayuki Sano
- Masaru Saka
- Mitsuko Baba
- Yumi Kobayashi
- Marie Ino
- Aiko Sonobe
- Yasuko Fukumoto
- Emiko Miyamoto
- Masahiro Naoi
- Yumi Mori
- Takeshi Morita
- Triple A
-
Intervalliste(s)
- Toei Phils.
- Kagura
- A-Line
-
Décors
- Bakuproduction
- Osamu Honda
- Misato Zushi
- Rie Honda
- 和昭 Iida (transcription incertaine)
- Yuri Kuwabara
- 峻大 Mayu (transcription incertain)
-
Couleurs
digitales
- Toei Phils.
- Kagura
- A-Line
-
Coordination
couleurs
- Yūki Akimoto
-
Effets
spéciaux
digitaux
- Toshio Katsuoka
-
Prise
d'image
digitale
- Yuichirō Okano
- Satoshi Nakamura
- Atsunori Shinagawa
- Mitsuru Kuno
- Yoshihito Kuwa
- Ayumi Itakuwa
-
Édition
- Kenta Katase
-
Enregistrement
audio
- Yasuo Tachibana
-
Assistant
à
l'enregistrement
audio
- Satoru Matsuda
-
Sélection
musicale
- Makiko Kayahara
-
Studio
d'enregistrement
- Studio Tavac
-
Effets
sonores
- Yūji Furuya (Swara Pro)
-
Assistant
du
réalisateur
- Masanori Satō
-
Assistant
de
production
- Naoto Sakai
-
Assistant
finitions
- Takahiro Kawamoto
-
Assistant
artistique
- Akihiko Yamaguchi
-
Enregistrement
- Minori Kajimoto
Seiyuu / Comédiens de doublages
- Kōga :Hikaru Midorikawa
- Sōma :Katsuyuki Konishi
- Yuna :Satsuki Yukino
- Ryūhō :Tetsuya Kakihara
- Ichi :Masaya Onosaka
- Georges :Masaya Takatsuka
- Geki :Kiyoyuki Yanada
- Luciano :Shunzō Miyasaka
- Rudolf :Yasuhiko Tokuyama
- Gray :Kōta Nemoto
- Komachi :Umeka Shōji
- Arne :Kozue Kamada
- Élève 1 :Ichitarō Ai
- Élève 2 :Tomohisa Hashizume
- Élève 3 :Sōta Arai
- Élève 4 :Yōhei Azakami
- Narration :Tōru Furuya
International
France
Casting
- Kōga : Maxime Baudoin
- Sōma : Benoît Du Pac
- Yuna : Maëlys Ricordeau
- Ryūhō : Olivier Podesta
- Ichi : Vincent Ribeiro
- Georges : Antoine Nouel
- Geki : Éric Peter
- Rudolph : Vincent Ribeiro
- Gray : Vincent de Bouard
- Komachi : Coralie Coscas
- Arne : Coralie Coscas
- Narration : Éric Legrand
Version
française
produite
par :
Toei
Animation
Co,.
Ltd.
- Supervision artistique : Toei Animation Europe S.A.S.
- Direction de production : Pierre Belletante
- Chargée de production : Céline Lallement
- Chargé éditorial et littéraire : Charles Lamoureux
Studio : Lylo Post Production (système Play'R)
- Chargées de production : Haydee Parcollet et Lucie Nicod
- Adaptation : Didier Duclos
- Direction Artistique : Antoine Nouel
- Prise de son et mixage : Françoise Trouy, Melissa Petitjean, Ivan Gariel, Damien Chalumeau, Rémi Durel
Notes
- Le titre utilisé est : "Le fils d'un héros. Ryūhō contre Kōga !"
- Ichi avait été auparavant été interprété par plusieurs autres comédiens au fil des années.
- Lors de son unique plan "en solo", seul moment qui permet en VO d'entendre sa voix par l'intermédiaire de son cri, le personnage de Lucciano est muet en VF !
- Le jeu de mot d'Ichi au début de l'épisode (voir plus haut) étant inadaptable tel quel en français, l'adaptateur le remplace par une bête erreur de placement de mots ("Les genres dans votre gars") que l'Hydre s'empresse ensuite de corriger.
- Le nom de Shiryū retrouve sa prononciation habituelle ("ryu", au lieu de "ryou" dans les OAVs d'Hadès).
- Bien que ce ne soit pas forcément une erreur, on pourra s'étonner que le nom de Georges n'ait pas été simplement prononcé à la française.
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Notes
- On pensait que les remaniements du générique à partir de l'épisode 13 TV (plans redessinés, effets visuels rajoutés ou modifiés) seraient logiquement introduits dès l'épisode 1 vidéo. Or en l'état, nous nous retrouvons avec une version "hybride" dont la seule modification reste les effets de lumière sur les Cloths lorsque les Clostones se transforment au début du générique. En revanche, les effets sonores (rajoutés à partir de l'épisode 3 TV) sont eux présents dès l'épisode 1.
- L'épisode 1 comporte quelques modifications mineures, principalement au niveau décors et effets de lumière.
Bonus
Communs aux éditions DVD, Blu-ray standard et First press Blu-ray :
- Générique sans crédits
- Palaestra Report : dépliant de 6 pages sur la série
First press Blu-ray :
- Fourreau illustré spécialement par Yoshihiko Umakoshi (illustration différente de la jaquette)
- Flyer reprenant le verso de la jaquette